Tout le naufrage de l’information télévisée symbolisé par les yeux de biche de la douce Erika. Un specimen d’une rare beauté, souillé par les résidus poisseux et nauséabonds qui s’échappent des soutes de ces rédactions censées nous informer. Le paysage audiovisuel semble ne plus être en état de se remettre de ces catastrophes répétées. C’est la goutte de mazout qui fait déborder la vase...
La pauvre petite Erika, presque submergée par cette vase putride qui ne laisse voir que
sa frimousse, fort jolie comme il se doit...