Notre « ami » Gazi Borat ne voit aucune différence entre des maquisards qui luttent sur leur propre territoire contre une armée d’invasion, d’une part, et d’autre part des chiens galeux qui commettent un attentat en territoire étranger, en temps de paix, en s’en prenant, pour faire bonne mesure, à une population civile qui pense pouvoir vivre tranquillement chez elle et vaquer à ses occupations de tous les jours.
Mais c’est pourtant notre « ami » Gazi Borat qui nous parle de psychiatrie et qui croit que ce sont les autres qui sont fous !
Mon brave Gazi, tu mérites un bon coup de pied au cul.