Un revers à cause des Verts est un moindre mal qu’une raclée par l’UMP. Celle-ci s’en tire surtout grâce à l’abstentionnisme à gauche et à la forte mobilisation de ses militants cramponnés à leurs privilèges et à leurs nombreux avantages fiscaux, ainsi qu’avec l’aide opportune involontaire des écologistes dont la victoire est sympathique mais sans grands lendemains sur le plan national. Demain, les écolos auront besoin de l’aide du MoDem...