C’est Margareth Tatcher, pour une fois bien mal inspirée, qui la première posa les bases de ce qui devait devenir le GIEC. Il était question pour elle de dévaloriser la filière charbon, avec laquelle elle connaissait des difficultés politiques.
Les institutions ont leur vie propre, et ce n’est pas faire injure aux scientifiques que de comprendre que les budgets dont ils disposent dépendent très largement de leur capacité à diffuser des messages alarmistes.