Petite réponse à J.P. Llabrés
Que voilà une profonde et belle apologie poétique de l’esthétique de la mort infligée. D’autres, en leur temps (et encore aujourd’hui) , ont aussi bavé de jouissance face aux supplices qu’ils infligeaient...à des humains. Que la perversion soit partie inévitable de l’homme, nous le constatons évidemment tous les jours (à ce propos, il existe tout un tas d’exutoires pacifiques). Mais de grâce, évitez nous l’obscénité en décrivant une boucherie infâme comme s’il s’agissait d’un acte magique et merveilleux ou bien le chant du rossignol !
Quand à la disparition d’un secteur économique : qu’ils se reconvertissent, il y a tant à faire (et à combattre) dans le social (ou je travaille) pour soulager la misère des hommes...et des animaux.