Deux autres pistes de réflexion à propos de vaccination et de sensibilité aux virus.
On est en droit de se poser la question de la sensibilité aux virus sous deux* autres angles :
L’angle de la génétique
L’angle de l’état de santé du sujet au moment du contage
Lorsqu’on nous dit (l’OMS) par exemple que les décès dus à la rougeole ont pratiquement disparu en Afrique grâce à la vaccination, on est en droit de se demandé ce qui faisait la différence entre l’Afrique et l’Europe en matière de mortalité due à la rougeole : la génétique ou l’état de santé de la population.
Témoin d’un très grave accident post vaccinal chez un très jeune enfant (très grave épilépsie confirmée à l’âge adulte), il est généralement rétorqué que la maladie peut provoquer de très graves séquelles. Ce que ne peut dire l’histoire, est si ce sont ces sujets-là qui réagissent mal à la vaccination...
NB ce résultat en Afrique me semble d’ailleurs surprenant car c’est un vaccin hyper sensible à la chaleur...qui ne supporte aucune rupture dans la chaine du froid.
* on ajouterait bien également un autre facteur (au grand damne de Pasteur) à la lumière de ce que l’on sait de la polio n’apparaissant « que » dans les populations avec un niveau d’hygiène satisfaisant, les autres ayant dès leur plus jeune âge été naturellement immunisés par des petits cousins inoffensifs de ce virus.