Serge Portelli, le magistrat anti-langue de bois qui fustige ce
glissement lent vers une justice dépendante du pouvoir politique,
participait à cette réunion.
Le plus effrayant reste cela. Car la justice dépendante du pouvoir politique, c’est la justice dépendante des lobbys. On se calme de suite les excités, je parle de TOUS LES LOBBYS.
Car je ne vois pas trop où est la justice quand une personne tapote avec une règle en bois l’épaule du juge ayant rendu un « mauvais verdict ».
Du coup, on peut imaginer plein de trucs très sympas comme l’impossibilité totale de gagner un procès contre une marque ou une société qui aurait vendu des produits dangereux, périmés, viciés, ...