@ zen : c’est peut-être un pataquès mais la confusion qui émane de mon discours est peut-être dûe à la crértinisation des jeunes d’aujourd’hui (dont les pseudo-anars-soixante-huitards-je-fais-la-révolution-puis-je-m’achète-une-mercedes-et-une-villa-à-40-ans-en-laissant-pourir-les-jeunes-de-maintenant-dans-leur-merde-et-esclavagisés-dans-un-CDD sont sûrement la cause).
La plupart des jeunes que je côtoie ne se posent même pas ce genre de questions. Existe-t-il un juste milieu entre l’hypocrisie et le cynisme ? Est-il possible de vivre ensemble ? Tout ça ils s’en foutent ! Ils ont bien compris que la vieille génération se foutait d’eux comme de leur première branlette.. C’est dans le machiavélisme qu’ils se réfugient :
- après moi, le déluge !
- le réchauffement climatique, les crises ? C’est pour après ! Dansons sur ’boom boom pow’ et tout ira bien.
- de toute façon, j’aurai pas de pension donc je vais vous le foutre dans le fion !
Et j’en passe, et des meilleures...
J’ai les moyens de vivre seul, mais j’ose encore penser qu’il est possible de vivre ensemble en société.
Ah oui, pour répondre à « l’Enfoiré », Darwin n’était ni de gauche ni de droite, il n’était même pas militant politique d’ailleurs (c’était un homme intelligent quand même). C’était juste un humaniste, un ’humain’. Choses que l’on rencontre très rarement aujourd’hui.