Qui etes-vous donc pour oser torcher un article tel que celui-là ? et où vivez- vous ? Avez-vous donc de la m...dans les yeux, les papilles bouchées et le yeux aveuglés par votre intelligence ? ne voyez-vous pas comment la nature est attaquée de toutes parts, de toutes parts,pour après jour ; champs contaminés par pesticides, eaux de rivière, et nappes phréatiques souillées par les profiteurs de viande, insectes, (abeilles, papillons etc..)oiseaux, mal en point, routes qui éventrent, hérissons écrabouillés ! et vous osez comparer les écolos à de je ne sais plus quoi ? mais monsieur si on les avait entendus davantage, les écolos, les vrais et non ceux qui surfent sur cette vague, comme d’autres ont surfé sur d’autres vagues, et bien la nature ne serait pas dévastée comme elle l’est ! tiens encore une petite pour la route ! et si j’en avais la place j’établirais une liste des destructions en cours, car pendant la vague verte, les destructions continuent. !
Encore considéré comme une espèce commune il y a vingt ans, le milan royal est aujourd’hui menacé d’extinction en France. Cette dernière accueille pourtant la deuxième population nicheuse en effectifs de ce rapace européen, derrière l’Allemagne. Preuve de ce déclin, une enquête nationale menée en 2008 a, en effet, révélé que le nombre de couples nicheurs était passé d’environ 3000-3900 sur la période 2000-2002 à 2650 en 2008, enregistrant une baisse de 21 % en six ans. Multiples, les causes de cette chute incluent la dégradation de son habitat, notamment liée à la modification des pratiques agricoles, les atteintes volontaires par tirs ou empoisonnements et les collisions.Venant aggraver ce bilan pour le moins alarmant, la perspective d’une ré-autorisation en Europe de certains produits dans le secteur agricole, tels que la substance anticoagulante dite bromadiolone utilisée contre les campagnols, pourrait bien signer une nouvelle disparition de l’espèce dans certaines régions. Appelé à statuer sur la légitimité de son utilisation en juillet 2003,
le tribunal administratif du Jura avait qualifié la bromadiolone de « toxique non sélectif », « de nature à détruire des espèces de gibier ». En l’absence de précautions d’utilisation, elle présenterait, en outre, un danger pour la santé humaine ainsi que pour les animaux domestiques.