Excellent, j’ai malheureusement peur que ce billet passe trop inaperçu !
Vous avez raison, et votre analyse est en trés grande partie la bonne.
LIBR’ACTEURS (www.libracteur.fr) que je préside prône la même approche.
En confidence,je suis, à titre personnel, proche de C.LEPAGE, et nous pensons que la taxe doit effectivement avant tout porter sur les importations.
Nous avons un bel exemple que je livre a la réfléxion de tous, car il porte sur la taxe, mais aussi sur la défense de notre agriculture via les AMAP, et sur l’éducation des jeunes à la conscience de la terre et a la saisonnalité.
Un prix, ventilant, en caisse la taxe carbone qui renchérit le produit importé.Un exemple avec les fruits et légumes, mais cela est aussi valable pour le textile, l’électro-ménager etc.
Un melon en AOUT vaut « x », avec une taxe carbone quasi nulle car le melon est en saison et produit en proximité.
Un melon en JANVIER vaut « Y » avec une taxe forte, pour apprendre a ne plus vouloir du melon hors saison !!
A vos réflexions et bon appétit.