Quand Sarkozy a prononcé le mot « coupable », il croyait avoir fait preuve de maîtrise car il pensait très fort au mot « condamné » comme une évidence personnelle. Car il a toujours un temps d’avance mais seulement pour les mauvaise choses. Pour tout le reste, il retarde, ce pauvre homme.
Ce n’est pas en juge qu’il parlait mais en exécuteur !