@ l’auteure
Sur le fond de l’article, rien à redire... Un écrivain a droit à une certaine licence en ses écrits. Il ne s’agit pas là d’un aveux sous serments..
Par contre, pour la dernière ligne, je m’interroge sur la po-polémique en train de naître concernant le refus d’un éditeur allemand, pour une phrase, dans le contexte d’un polar, nettement moins glauques que les fantasmes d’une Oriana Falliacci.
S’agit-il d’un refus rendu public par l’éditeur ou la vengeance médiatisée d’une écrivaine se voyant renvoyer son manuscrit ?
Ecrivain maudit, cela ne paye plus guère.. mais Salman Rushdie de Troisième zone est un statut qui rapporte plus en terme de publicité...
gAZi bORAt