commentaire difficile car la nuance se fait sur le fil du rasoir
Dans un club de vacances une communauté x ou y , une ambiance « jeune » opposera les « filles » et les « garcons » même quadragénaires...parler de garçons est somme toutes banal
Dans le cas présent, pédophilie me semble excessif. J’aurais tendance à reprendre le qualificatif que l’on attribuait à Roger Peyrefitte « adophilie » : domaine de « préférence » entraînant sans doute des situations ultra limites . Ceci sans distinction de sexe : qui peut actuellement sans risque de se tromper affirmer l’âge, sur la simple apparence physique, d’une fille/jeune fille/ lycéenne/étudiante/jeune femme croisée dans la rue ?
En lisant le bouquin j’avais été plutot écoeuré mais je salue quand même la confession clairement décrite par l’auteur comme nauséabonde. « Chaque homme dans sa nuit » écrivait ( ? Julien Green ? ) certains l’avouent, d’autres mettent un mouchoir dessus et se taisent ou jouent les moralistes, c’est beaucoup plus confortable.