Votre article aussi souffre d’un amalgame. Je crois qu’il existe un large accord pour admettre, entre adultes consentants, les pratiques sexuelles le plus variées.
Par contre quand vous parlez de F.M. il est clair que vous n’avez pa lu son livre.
Ce qui gène n’est pas seulement qu’il emploi le mot garçon mais que concernant son ou ses partenaires on relève les expressions : d’éphèbes, rires enfantins, de jeunes garçons et j’en passe, toutes difficles à appliquer à la desciption de partenaires de son âge ou cinq ans de moins comme il l’a dit dans l’interview de TF1, et ceci même si l’on tient compte que ce tourisme sexuel a eu lieu il y a 20 ans et que F.M. avait alors une quarantaine d’années. Sans compter la navrante histoire du partenaire tunisien par la suite « adopté ».
A tout prendre je préfère l’excessive discrétion de feu l’autre F.M. L’étalage même honteux ou repenti de conquètes multiples, tarifées ou non, homo- ou hétéro- n’étant guère profitable que sur le plan des droits d’auteur.
A ce propos l’histoire actuelle a provoquée plus de 50000 exemplaire de ventes nouvelles de « La mauvaise vie » ; soit plus de 100 000 euro de droits d’auteur (merci Marine et Léo).