Les preuves d’erreurs graves, et même de fraudes scientifiques (courbe hockeystick de Mann) et forts soupçons de fraude (« perte ou destruction » des données source de température du CRU brtannique) s’accumulent sur les travaux du GIEC. Les doutes sur la qualité et l’honnêteté de cet organisme se sont accumulés depuis l’origine. Quand au consensus, c’est de la désinformation pure et simple. Il y a beaucoup plus de scientifiques qui se sont prononcés contre les théories du GIEC ou sur les politiques fondées sur ces théories que d’hommes et de femmes de science qui les soutiennent expressément. Voir, entre autres, les 31000 scientifiques signataires de la pétition de l’Orégon.
Que des politiques lourdes de conséquences, d’ampleur planétaire, irréversibles utilisent ces travaux douteux comme caution est tout simplement monstrueux. Messieurs Sarkozy, Obama, Brown, Mme Merkel, et autres ne peuvent pas ne pas être informés de la fragilité du dossier GIEC. Ils utilisent donc sciemment une manipulation anti-démocratique pour tromper leurs peuples et imposer des contraintes, des taxes, et des handicaps économiques que personne n’accepterait sans leur stratégie de la terreur.
Faut-il être libéral pour affirmer cela ? Je remarque que des scientifiques tels Claude Allègre et Vincent Courtillot sont plutôt des personnalités de gauche, mais honnêtes eux. Mais à quoi rime cette chasse aux sorcières, qui veut que dès lors qu’on refuse les théories du GIEC et les politiques qui en découlent, on est forcément « ultra-libéral » ou « vendu aux lobbies pétroliers » ? Ce sont là les arguments insignifiants de gens qui se montrent incapables de réfuter objectivement les thèses sceptiques, ou alors qui ont un intérêt personnel à la perpétuation des errrements actuels des gouvernants occidentaux. Il est vrai que les politiques interventionnistes actuelles en matière environnementales constituent une poule aux oeufs d’or pour des millions de gens de par le monde, et que ces gens là ne voient aucun inconvénient à ce qu’on dépouille les contribuables, qu’on bride la liberté des citoyens et qu’on diminue le bien-être du plus grand nombre pour que leur filon perdure.
Reste la masse des gens conditionnés par l’énorme propagande déversée depuis près de vingt ans, des gens qui faisaient confiance à leurs médias habituels, qui croyaient en la compétence et en l’honnêteté des dirigeants politiques qu’ils portaient au pouvoir. Ils est crucial que des auteurs du talent de Monsieur Vincent Bénard puissent s’exprimer, et ceux qui vitupèrent contre ce qu’il est, plus encore que contre ce qu’il écrit, ont une curieuse conception du respect d’autrui et de la liberté d’opinion.
S’il faut être libéral pour dire que le GIEC se trompe ou nous trompe, preuves à l’appui, alors vive le libéralisme. Il est vrai que la plupart des dirigeants socialistes, des démagogues du MODEM et des cireurs de pompes présidentielles de l’UMP aboient avec les alarmistes climatiques. Je suis convaincu que leurs électeurs ne se laisseront pas éternellement berner par leurs mensonges. Je sens d’ailleurs monter la fronde. Le temps est proche où la plupart des ces aboyeurs sentiront le vent tourner, et découvriront subitement les vertus des valeurs de liberté individuelle, de responsabilité, de respect de la propriété, de la liberté d’entreprise, et de tous les autres principes de cette philosophie qui, depuis les Lumières et Adam Smith, a triomphé de l’ancien régime, du marxisme-léninisme, et qui saura s’opposer bientôt au Nouvel Ordre Mondial et à ses serviteurs Verts.