Quand vous travaillez pour quelqu’un, un pourcentage non négligeable de votre propre productivité se retrouve dans la poches de tierces personnes, le plus choquant étant le transfert qui se fait au bénéfices « d’acteurs » passifs, véritables sangsues que sont les actionnaires.
C’est difficile de faire le premier pas vers l’indépendance totale qui est d’être son propre patron, mais quand on peut voir qu’on se retrouvera en concurrence souvent avec des incapables et des imbéciles, tous ceux qu’on a côtoyé des années durant dans la plupart des entreprises, nul besoin d’être un être exceptionnel pour y arriver.
Un peu de bon sens et beaucoup de travail, mais où toute l’énergie produite vous profitera à vous seul.