J’ai bien conscience que la « fusion » de groupes dont les fondations ne sont pas forcément solides peut conduire à l’échec mais je vois également que chacun apportera son carnet d’adresses, son capital matériel et humain et bien évidemment son domaine d’expertise. Le but ne serait pas de tout garder (que faudra t il conserver et supprimer ?) mais plutôt de faire la somme des particularités qui font que l’on consulte chacun des sites que j’ai cités (et d’autres cela va de soi).
Je ne pense pas avoir proposé une solution miracle mais j’espère que cela permettra a chacun de réfléchir sur les moyens d’aider les médias « libres » et « alternatifs »