L’identité française n’existerait pas, alors que l’identité algérienne existe bel et bien comme nous l’ont rappelé les supporteurs algériens de l’équipe algérienne de football qui ont tout cassé à Marseille pour venger la défaite de leur équipe ?
Parions qu’il y avait des algériens porteurs d’un passeport français parmi les émeutiers, il existerait donc des algériens qui sont français, sans doute à la suite d’une erreur administrative.
Le débat sur l’identité est en fait un débat sur les conditions d’attribution de la citoyenneté française, dont on voit qu’elle a été attribué à des gens qui revendiquent vigoureusement pour eux d’autres identités nationales.
Le problème est le suivant : on ne peut pas appliquer le droit du sol à des ressortissants de pays qui n’appliquent QUE le droit du sang, comme par exemple tous les ressortissants de tous les pays musulmans, au point que ces pays musulmans interdisent à leurs ressortissants de changer d’identité nationale.
Cette interdiction d’abandonner leur identité nationale de naissance se conjuguent de plus avec une interdiction, sous peine de mort, de renoncer à la religion musulmane, car il n’ya aucune séparation entre la religion et le droit dans les pays musulmans où l’Islam est partout religion d’Etat.
Ce qui soulève une autre question fondamentale, car voici le texte de l’article 18 de la Déclaration des Droits de l’Homme, qui fait partie de notre Constitution :
« Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction.... »
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Or il se trouve que, comme on l’a vu plus haut, les musulmans n’ont pas le droit de changer de religion, car la religion musulmane prohibe l’apostasie et la punie de mort.
Il apparait donc bien que la religion musulmane NE PEUT PAS bénéficier de la liberté de religion et que cette religion devrait donc être interdite, selon l’Article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
La Loi d’origine coranique qui infeste le droit de tous les pays musulmans est parfaitement contraire à notre loi démocratique et le respect de notre droit démocratique IMPLIQUE une renonciation à la loi coranique, qui est par définition impossible et punie de mort par cette même loi !
L’incompatibilité est manifeste et il aurait fallu la voir avant.
Une bonne nouvelle cependant : la plupart des musulmans résidents en France ne sont pas français, ce sont des « touristes » en situation irrégulière qui ont « oublié » de rentrer chez eux à l’expiration de leurs visas temporaires.
D’où les queues devant toutes nos préfectures, constituées de « touristes » qui demandent la prolongation de leurs titres de séjour !!