Dans les dernières phrases de votre articles, qui résume la recette pour une intégration réussie, vous écrivez « nous sommes........... »
Ce « nous » qui ne désigne pas un groupe particulier, mais l’ensemble de vos lecteurs, moi y compris, ce « nous » est l’exact contraire du « vous » les français, qui sonnent le plus souvent comme un reproche.Ce « nous » témoigne de votre parcours intellectuel, et les droits qui en découlent, font de vous une personne que je qualifierais d’auto-adoptée.
Vous aurez noté, je pense, que ce « nous » qui vous honore, fait de vous, aux yeux de certains, une « collabeur »
Votre article s’adresse à des personnes de bonnes volontés, selon le terme consacré, mais constatant qu’aucune lampe ne peut. éclairer un cerveau obscur, que convient il de faire des personnes qui ne veullent pas s’integrer ? Et dans le cas ou une action serait conseillée, comment reconnaitre le bon grain de l’ivraie ?