L’ État s’occupe bien, et avec raison, de définir un minimum de règles pour l’instruction de ses citoyens. Je serais bien étonné qu’à l’Éducation Nationale on laisse enseigner qu’une femme vaut la moitié d’un homme. Il n’aura échappé à personne qu’un lieu rituel n’est pas qu’un lieu de prière, mais aussi un lieu d’enseignement. Et cet enseignement se doit d’être conforme à un minimum de règles.
C’est certainement cela la véritable question.
Et en attendant que cette question soit résolue par les musulmans eux-mêmes (qui pourrait le faire à leur place ?), les Suisses ont simplement demandé à l’islam juste un peu de modestie.