C’est beau comme du Vincent Rocla !
Mr Dugué imagine sans doute que la croissance infinie est une bonne chose. Qui peut nier l’influence négative des gaz à effet de serre, de la pollution généralisée, de l’épuisement des ressources planétaires ?
Mais ce qui se profile derrière ce sommet de Copenhague, c’est hélas, le déploiement du green business : ces gens, au nom de la santé de la planète, pourraient bien faire comme leurs prédécésseurs, les diafoirus de Molière qui s’écriaient « le poumon ! le poumon ! » au chevet leur malade en train d’agoniser d’inanition et d’épuisement pour cause d’excès de saignées.