Vous avez eu plus de chance que moi pour la publication de votre article. J’en avais proposé un sur le même sujet sur AV mais qui a été censuré. Je me permets d’ajouter une information qui sera, je l’espère, appréciée. Parmi les 17 dirigeants qui restent en cause, mais sachant que l’AMF avait initialement mis en cause 1200 cadres d’EADS (faire le parallèle avec « too big to fail »), il figure le nom de Jussi Itävuori, finlandais et DRH du groupe, qui a récupéré la deuxième somme dans cette affaire en vendant ses stocks-options. Et en plus ce monsieur s’est permis d’écrire le code d’éthique du groupe EADS !
Sans plus de commentaires.