Alain Minc est un Friedmanien assis sur un chant de ruines idéologique mais il continue à prodiguer ses mauvais conseils ultra-libéraux à Zébulon Ier. Les portes du château lui sont toujours restées ouvertes malgré des « légères » erreurs d’appréciations sur la crise, jugée « grotesquement psychologique ».
Une telle fidélité de la part de Zébulon valait bien un petit exercice d’antiségolénisme primaire. C’est le petit jeu préféré de la bande des altoséquanais. D’ailleurs à part faire souffrir les gens, ils ne savent rien faire d’autre que d’en dire, en plus, du mal.