Le bras d’honneur de Peillon est digne d’une chiffe molle.
Et, contrairement à ce qu’il dit, ce n’était pas prémédité. Car s’il avait prémédité son coup, il aurait préparé un discours construit au lieu de bredouiller ces quelques mots inaudibles pour se justifier.
Il avait l’occasion de venir relayer ce que pense une majorité des Français face à ce prétendu débat sur l’identité nationale et qui n’en est pas un (c’est pouquoi tout le monde s’en fiche). Mais il a choisi le bras d’’honneur du collégien qui sèche les cours. Du coup, les gens qui espéraient entendre un contre-discours en seront pour leurs frais.
Bras d’honneur sans honneur. Peillon, mauviette !