Il y a des points communs en effet.
Tout celà montre qu’il est faux de rendre Sarkozy unique responsable de cette évolution : Les causes sont bien plus profondes et ce ne serait pas un changement de président qui règlerait le problème.
Dans la classe politique française, je n’en voit pas un seul capable d’apporter une réponse.
Au niveau européen, la seule tentative de réponse collective a été la « stratégie de Lisbonne » dont l’objectif était de faire de l’Union européenne « l’économie de la connaissance" la plus compétitive et la plus dynamique du monde d’ici à 2010.
Mais rien de concret n’a suivi.