Article intéressant et amusant, mais je ne suis pas sûr d’être d’accord avec votre interprétation de l’entropie au niveau social.
Le corps humain est par exemple négentropique, c-à-d qu’il fabrique de la complexité — en réduisant son entropie — au dépend de son environnement, lequel voit son entropie (son désordre) augmenter.
Pour les sociétés aussi la baisse d’entropie est désirable, afin d’évoluer vers plus de rationalité éthique. Les merdias sont des dispensateurs d’entropie, empêchant les téléspectateurs de choisir la face — en tant que patate — sur laquelle ils ont envie de rissoler dans la poële de la vie.
En somme, le libre-arbitre serait à l’opposé de l’entropie. Mais je peux me tromper, cette notion — Entropie — étant un peu casse-gueule (je vous remercie d’ailleurs de vos éclaircissements didactiques).