J’habite à la campagne, la vraie, celle où il y a plus d’agriculteurs que de résidences secondaires.
Entre les chiens de chasse du voisin, enfermés dans leur chenil la plupart du temps, qui aboient sauvagement dès qu’ils aperçoivent quelqu’un, y compris leur maître, les chiens des fermes ou des maisons qui se précipitent dans la rue lorsque vous passez, les chiens des mêmes qui baguenaudent librement et viennent chier dans votre cour, si vous oubliez de refermer le portail,
Je peux le dire, je n’aime plus les chiens.