Frèche, on aime, ou on n’aime pas. Moi j’aime pas. J’aime pas sa vantardise, ses allures de matamore, son comportement de chef de bande. Je comprends pourquoi il a beaucoup d’électeurs : beaucoup de gens aiment ça. Beaucoup de gens voient la politique comme un jeu dans la cour de récré où ce sont les plus marioles qui dirigent les plus petits.
Les journalistes, frèche les amuse. Il les aide à vendre du papier. Ce matin encore, dans les transports en commun de la RP, le journal gratuit METRO donnait une pleine page de pub pour Georges Frèche