L’ hiver fut Harude .
Installés sur un regardement ( petit monticule surélevé ) les Séquanes observaient l’ Est sachant que leurs alliés Suèves viendraient leur donner un coup de main , contrecarrant l’ impérialisme et les ambitions de César qui s’ était fixé comme objectif d’ avoir la Gaule .
Affranchis de leurs anciennes coutumes tribales féroces fougueux alertes , chevaux bais , noirs et blancs crinière au vent , les Suèves apparurent dans une poussière de nuage un matin de Juillet , date qui tomba pile avec le mois de Jules dont un célèbre 14 resta dans la mémoire des cuisines collectives .
Prononçant des paroles aux sons bizarres ressemblant aux grognements gutturaux de leurs plates contrées germaniques entourées de forêts rivières et fleuves les anciens Nuithones Reudigues et autres Suardones écarquillaient .
Du jamais vu , ces reliefs s’ élevant à de grandes hauteurs ( appelés montagnes de nos jours )
Mince j’ ai un coup de fil là .