La réfutation de l’etude par la SNEP, dixit David el Sayeg :
"A dire vrai, seule une analyse des réseaux et notamment des flux issus
des ports peer-to-peer permettrait de garantir la véracité des faits
énoncés."
démontre bien à quel point ils ont envie de mettre un flic derrière chaque internaute. Vu leur accointances avec le pouvoir, ils n’hésiteront pas à employer des grands moyens, je le crains.
Quand quelques privilégiés essayent de criminaliser l’activité de millions de gens, ces millions de gens devraient à leur tour criminaliser cet abus de pouvoir.