Que Carla Bruni trompe le « président du pouvoir d’achat » avec un chanteur à la mode n’a en soit aucune importance.
Par contre il serait intéressant de savoir avec quels moyens l’Elysée aurait affrété un jet privé pour rapatrier la « Première Dame » et son jeune amant depuis une île paradisiaque.
Si, par hasard, mercredi prochain, le Canard Enchaîné venait à dévoiler que le Trésor Public était le sponsor de cette histoire de fesse privée, vous pouvez croire que Apathie et Birenbaum n’en mènerait pas large.