Pour conserver son fauteuil, son bureau, sa secrétaire et sa bagnolede fonction, le politicard n’est-il pas prêt à tout renier et son opposé ?
« Je suis ni pour ni contre, bien au contraire... » disait un humoriste détesté du monde politique, avant d’en être encensé.
C’est vrai que FBayrou et JLassale ne l’ont pas fait.
Mais j’ai bien peur que beaucoup d’électeurs préfèrent une France coupée en deux qui se combat de l’intérieur, plutôt qu’un pays dynamique où toutes les forces sont synergiques.
Chercher les tares de « l’autre » est plus facile que de se remettre en question.