C’est risqué d’aborder la question des retraites par le Chili.
D’abord le risque est la reducio ad pinochetum, arme favorite des imbéciles.
Ensuite la France est un pays frileux, peu audacieux, et imaginer un ouvrier assez intelligent pour faire lui-même son plan de retraite est une impossibilité. Non pas que le Français prenne l’employé pour un imbécile, mais vous savez ces professeurs qui bénéficient d’une retraite garanti par l’État sont toujours prêt à nous expliquer, à nous prolétaires, ce qui est bon ou pas. Oui mais désolé petit gars, le faites ce que je dis mais pas ce que je fais, terminé.
Et vite.