La seule solution à la progressive décroissance, est une plus juste redistribution des richesses, grâce à l’indispensable REFORME MONETAIRE, telles celles prônées par Maurice Allais ou Robertson :
Il rejoint les idées de Maurice Allais et propose en particulier de créer
immédiatement toute la monnaie centrale en contrepartie de toute la
monnaie déjà en circulation, en considérant que celle-ci a été empruntée
à la Banque Centrale et en
exigeant que les banques de second rang (banques commerciales) versent à la Banque
Centrale les intérêts annuels en cours, aucune autre pratique financière
n’étant modifiée (au moins au début...). Ces intérêts sont reversés à
l’État, la Banque Centrale étant (ou devenant préalablement) l’une de
ses institutions. En d’autres termes, le gain généré par la création de
monnaie (seigneuriage) ne devrait plus revenir aux
banques commerciales mais être attribué aux recettes publiques.