Moi, ma vie, mon oeuvre...
Moi, je l’aime bien, la mère Lagard...ère, elle ne se rend jamais...En bonne figure de proue, elle essuie les embruns sans jamais sourciller, le brushing toujours impeccable. Elle n’a pas besoin de se démultiplier, de développer ses dons d’ubiquité, pour être présente dans tous les esprits, ses lagarderies passeront à la postérité, un peu comme les créations poétiques de langage de sa consoeur Ségolène.
De toute façon, elle n’aurait rien pu vous apprendre que vous ne sachiez déjà, puisque le plus dur de la crise est bien derrière nous !