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fhenryco 9 juin 2010 19:35

Sympa de rappeller quelques uns d’une serie d’arguments qui demeurent très dificiles à écarter d’un revers de la main pour les partisans de la VO. Moins sympa de ne pas dire un mot à propos de mon site dans lequel toutes les pages de bastison.net ont été décortiquées depuis belle lurette.

www.darksideofgravity.com

Je rappellerai quand même qu’il faut se méfier des images lorsqu’on compare les caractéristiques de l’effondrement des tours à celles d’ immeubles en béton. je le fais aussi dans mon site pour le cas de la tour ABC mais j’évite d’en abuser car ce type d’argument n’est pas décisif. Une fois que la pile supérieure tombe sur les étages inférieurs dans une structure d’acier comme celle du WTC, difficile d’évaluer si les colonnes peuvent encore jouer un role quelconque pour arreter l’effondrement puisque toutes les contraintes lors d’un tel impact s’exercent alors sur un plancher et qu’un plancher n’est fait que pour soutenir que quelques fois son propre poids en statique et non pas en dynamique (un choc ! ca change tout) .

Donc si vous me demandez si l’effondrement aurait du s’interrompre dans le cas d’une structure constituée de vide (entre les colonnes) contrairement à celle d’une structure de béton pleine, j’aurais du mal à avoir un avis très ferme, et c’est pourquoi il nous a fallu aller rechercher avec Manfred d’autres preuves un peu plus difficiles à épingler.
On ne se serait pas fatigués si la réponse avait été aussi simple.


Il est vrai qu’il y a eu de multiples explosions au WTC mais il est également remarquable qu’aucune de ces explosions ne fut suffisamment puissante pour faire sursauter tout Manhattan et produire des signaux sismiques via les ondes de chocs sonores ce qui aurait du être le cas compte tenu du degré de destruction (pulvérisation) atteint au WTC.
Voyez littéralement des fontaines de béton pulvérisé sur la page de garde du livre de Quirant. j’ai de cette poussière à la maison : pas de la farine mais presque !

Pour produire cela avec des explosifs , ie destruction par les seuls effets du pic de surpression, il aurait fallu des puissances extrêmes , bien supérieures à celles que permettent y compris les armes conventionnelles (non nucléaires) les plus puissantes à ce jour , les thermobariques. Voyez par exemple sur youtube les gravats laissés par l’explosion d’une MOAB : des blocs et des gravats , pas de la farine !
Au WTC , l’essentiel de la masse a été convertie en poussière très fine, c’est cela qui est le plus extraordinaire , ajouté aux conditions du fer fondu qui ont perduré pendant des mois.

Comme il est aussi facile d’écarter les mini-nukes nucléaires (radioactivité nulle sur le site et bombes très peu adaptées à la desttruction mécanique) ma conclusion est que la physique qui a servi à détruire les tours le 11/9 n’est pas de la physique qu’on a apprise à l’école. Le crime est donc double : celui des victimes évidemment le jour J mais aussi contre l’humanité car les labos du DoD ont manifestement une révolution scientifique d’avance sur tous les scientifiques de la planète : ils ont utilisé une nouvelle physique qui aurait pu être la clef de la résolution de problèmes humanitaires majeurs à échelle planétaire uniquement à des fins de suprématie. cette nouvelle physique est celle qui se manifeste notamment dans ce qu’on a appelle, assez maladroitement, la fusion froide.

C’est justement parceque les caractéristiques de cette destruction ne peuvent être interprétées par aucun expert au monde , en particulier en explosifs , que l’opération a été possible.

Dossier complet sur mon site avec une argumentation détaillée dans mon « nouvelles pistes ». La matière des tours a été désagrée par des processus physiques d’un genre nouveau, pas nucléaire non plus, mais qui ont pu se propager telle une réaction en chaîne transformant les dalles de béton en fontaines de béton pulvérisé, ceci dans un silence relativement assourdissant compte tenu du degré de destruction atteint : Une fois de plus il ne s’agit pas là des effets de pics de surpression d’explosifs. De la thermite a été utilisée aussi en phase préparatoire (pour trancher des colonnes en de nombreux points clefs de la structure), mais la thermite non plus ne peut sufire à rendre compte d’un tel degré de destruction : une autre techno a été mise en oeuvre pendant laphase principale de la destruction elle même. Quant à la nanothermite , il s’agit d’un écran de fumée visant à occulter l’utilisation d’une physique nouvelle par les labos du DoD.

F Henry-Couannier
Physicien
Maitre de conférences


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