Les syndicats, par définition, ne s’intéressent pas à l’intérêt général, mais à l’intérêt de leur corporatisme, espérant le plus souvent socialiser leurs avantages par l’impôt, qui se situe déjà à des niveaux confiscatoires en France. Les syndicats sont donc des fabriquants de dette jouant contre la majorité de la population et contre les autres générations. Ils vendent la France à l’Etranger et n’éprouvent aucune honte à mettre en face de nos dettes des « actifs » cessibles. Le bien collectif doit être sacrifié à l’autel de leur intérêts particuliers. Ils sont, par l’augmentation des charges sociales, les principaux responsables du taux de chômage récurrent plus élevé en France, obligeant les entreprises à préférer la délocalisation ou l’automatisation à l’emploi salarié.
Les syndicats, par leur égoisme corporatiste et leur manque de formation à la compréhension des rouages économiques, leur manque de représentativité dans le monde salarial, n’ont aucune légitimité pour participer à une réflexion sur l’avenir des systèmes de retraite.