Nous avons eu l’équipe de France Black-Blanc-Beur de 98, soudée, solidaire et finalement victorieuse.
Nous avons l’équipe de France des cités 2010, individualiste, sans honneur, sans respect et finalement capable de rien.
De là à dire qu’il y a deux façons opposées de vivre son pays, il y a un pas que je franchis sans peine...
Dommage que dans ce cas là, la misère ne puisse pas servir de prétexte à ce qui compte vraiment : l’esprit...