Bonjour l’auteur, voici ma triste réflexion !
Vous étiez des milliers, vous étiez des millions
Pour applaudir le choix de la noble fédération
Qui avait intelligemment concoctée cette sélection.
Vous parliez d’athlète, de sport mais pas du pognon,
Pour vos représentants, vous n’aviez qu’admiration !
Mais depuis, devant votre écran, c’est la consternation.
C’est juste une équipe de mauvais garçons.
Emergeant de votre rêve, vous demandez des sanctions.
Vos employés au langage châtié, entrent en rébellion.
Depuis quand les dieux utilisent la révolution ?
Votre coq n’accepte pas cette grave humiliation
Votre haine de la trahison, s’exprime à plein poumon !
En oubliant, que pour applaudir cette équipe de fanfarons
Vous étiez des milliers, vous étiez des millions.
Mes salutations sont un signe de correction.