Que la guerre soit bien ou mal fondée elle se traite comme un incendie. C’est dans les 5 première minutes qu’il faut frapper vite et fort, après ce sont des moyens colossaux qu’il faut déployer au risque de toute façon de voir l’incendie se propager vers les pays, pardon, constructions voisines. L’issue déliquescente ne fait hélas plus de doute à moins de trouver dans la population afghane les ressources d’un sursaut de vie.