Faux.
La guerre peut être gagnée - à condition de ne pas la mener avec un bras, voir les deux, attachés derrière le dos.
Peu importent les motifs - riposte à une attaque terroriste, souci de ne pas laisser des ressources énormes tomber entre les mains des talibans - en tout cas on a affaire à un ennemi qui ne doit inspirer la moindre réserve, humanitaire ou autre, un ennemi aussi cruel que le nazi d’antan.
Mais bien sûr, en agissant envers les talibans avec la même mollesse qu’avec les caïds de nos cités (voir les émeutes de Grenoble) on ne fait que prolonger l’affaire.