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Perdurabo 2 octobre 2010 00:27

Le gros problème de la Belgique est qu’une communauté a persécuté l’autre, les flamands furent quasiment privés de l’usage de leur langue. Mon grand père fut baptisé Lodewijk à Bruxelles, il fut inscrit sous le prénoms de Louis (Lodewijk refusé), cela s’est passé en 1907. Il ne put reprendre son prénom Lodewijk qu’à la fin des années 20.


Une réconciliation est possible, 
elle a deux aspects 
émotionnelle : celle où francophones et néerlandophones s’excuseront des torts qu’ils ont porté à l’autre communauté.
financière : quand les francophones seront réalistes dans la gestion de la Wallonie

Lorsque la Flandre accepta la constitution des 19 communes bruxelloises en région (1989), c’était pour trouver un accord de paix avec les francophones, l’esprit de l’accord était de dire que Bruxelles était une indivision entre les deux communautés. 

Le lendemain de l’accord certains francophones ont dit : si la flandres prend son indépendance, et bien la Belgique continuera avec Bruxelles et la Wallonie... Après des gens comme Astérix ou diedericks se demandent pourquoi la Flandres refuse l’extension de Bruxelles voire l’extension des facilités à d’autres communes de BHV...

J’ai fait une proposition dans un article que le soir a refusé de publier, parce qu’au lieu de défendre la tension il défendait la mesure, en voici la teneur.

Nous constatons que la plupart des pays (sur base de la taille ou de circonstances particulières comme l’usage de plusieurs langues ou l’existence de plusieurs ethnies) choisissent où un fonctionnement sur base de régions (Allemagne, USA.) ou sur base de communautés linguistiques (Suisse) voire ethniques. Les deux système ne sont pas réellement combinables.

Je propose donc les choses suivantes.

- fusion de la région wallonne et de la communauté française qui deviennent la Région-communauté Romane (wallon désigne une ethnie et une langue plus vraiment parlé, en outre les habitants de la provinces de Luxembourg se considèrent comme Ardennais et non comme wallon, de même les habitants du brabant-wallon se considère comme brabançons et non comme wallon. La notion de roman renvoie au français, et permet de lever les ambiguïtés que possède un nom comme communauté française)

- dissolution de la région de Bruxelles-Capitale dont les compétence sont transférées pour les néerlandophones à la région-communauté flamande et pour les francophones à la région-communauté romane.
- Bruxelles des 19 communes+ les communes à facilités+quelques communes comme Tervuren) deviennent la province de Bruxelles et l’arrondissement bilingue de Bruxelles
- Les deux communautés signent un traité dans lequel ils renoncent à une revendication unilatérale de Bruxelles et décident de former une gouvernement provincial particulier et mixte pour Bruxelles. Bruxelles agrandit est une indivision entre flamands et francophones.
- Pendant 20 ans les habitants des communes à facilités et des communes flamandes, excepté les 19 communes de Bruxelles, qui décident d’opter pour le français et donc la communauté romane paieront leurs taxes régionales à la Flandres, néanmoins cette dernière en reversera 25% les 5 premières années à la région romane, 50% après 10 ans et 75% après 15 ans. Après 20 ans ils paieront celles-ci directement à la région romane.
- La région-Communauté romane et la région-commuanuté flamande élisent comme capitale Bruxelles et se reconnaissent mutuellement le droit d’élire Bruxelles comme capitale
- La région communauté flamande conserve ses armoiries (Lions de sable (noir) sur fond d’or (jaune), la région-commuanuté romane prend de nouvelles armoiries (lion d’or sur fond noir) en réalité les armoiries de Brabant et Leo Belgica
- La communauté germanophone est intégrée à la région-communauté romane et a ses compétences pour les habitants parlant allemand de certaines communes définies (elle devient donc un simple relais de la communauté romane pour les germanophones). Elle sera une sous communauté sans territoire déterminé
- L’État fédéral transfère un max de compétences aux deux régions communautés
- On conserve un parlement ou congrès fédéral qui vérifie les lois que votent les deux communautés régions et qui vérifient les budget. (inspiré par les rapports entre l’état fédéral US et les 50 États qui ont des compétences, qui votent leurs budgets, mais tout est vérifié au niveau fédéral. ex. L’État fédéral ne peut pas interdire l’application de la peine de mort ou obliger un état à l’appliquer — rappelons que les états US correspondent à nos régions)
- Le droit d’emprunt doit être vérifié par le parlement fédéral, confédéral, congrès, etc.)
- Les transferts de communautés à communautés continuent mais iront en diminuant (extinction définitive en 20 ans) La communauté qui transfère ne pourra obtenir que le remboursement des fonds que ayant été mal utilisés (vérification par le congrès confédéral) Si la communauté qui a aidé avait besoin d’aide la communauté qui a reçu l’aide rendrait cette aide (même si plusieurs siècle s’écoulent)

C’est concret, clair, légal et cela ne sera jamais voté, parce que chaque partie veut le maximum... ce sera d’ailleurs plus facilement accepté par la Flandres que par les francophones qui ne veulent bxl que pour l’argent que cela amènera à Liège et à Charleroi.




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