L’auteur fait une erreur fondamentale, en ce sens qu’il assimile la montée de l’extrême droite à une stratégie des puissants, de l’oligarchie, alors que ce phénomène est bien plus une réaction au mondialisme, qu’il soit économique ou humain.
L’ironie de l’histoire, car il y en toujours une, c’est que l’instrumentalisation du choc des civilisation, au lieu de faire bouger les lignes vers des internationalismes pousse au contraire a des nationalismes.
Les seuls grands internationalismes sont l’islamisme et le mondialisme, qui se révèlent être des alliés objectifs pour faire la peau aux nations, derniers remparts contre les désirs de domination de l’oligarchie.
L’auteur est d’ailleurs en plein dedans, l’occident c’est qui ?