Bonjour,
@ thytan, vous dites " La solution la plus radicale constituerait à construire de toute pièce
une nouvelle LGV entre Paris et Toulouse en suivant l’axe actuel, « quitte à construire une ligne de toute pièce, autant ne pas faire un doublon inutile et ouvrir un nouvel axe. Ce n’est pas la région concernée et notamment le Cantal, la Creuse, et le puits de Dôme qui s’en plaindront. Pour le même prix, l’on a une corde de plus à son arc.
» Je crois vraiment que la solution constituant à
continuer de rénover la ligne classique polt tout en construisant les
LGV Poitiers-Limoges puis Poitiers-Bordeaux et Bordeaux-Toulouse est la
bonne voie ! " Pour aller de Paris à Toulouse, l’idée de passer par Bordeaux est insensée. et ne permet que de justifier le montant des travaux au quota des passagers transportés. Retirez tous les éventuels clients intéressés par la ligne directe via Orléans, Bourges, Clermont, Toulouse par une nouvelle voie, et vous verrez que les clients de Paris Bordeaux ne justifieront plus les montants déclarés de travaux...
@ l’auteur, et dans le cas d’une nouvelle voie droit vers le sud, autant utiliser le système aérotrain, nettement moins ruineux en surface, acier, entretien et accidents, que les voies classiques. Les grands projets d’État sont les raisons de la crise actuelle menée par une politique de croissance absolue visant toujours plus de frais. Seuls les grands groupes industriels savent retirer leurs épingles du jeu pour croitre encore à la bourse. D’où le manque total d’appel d’offre et de mission d’information populaire.
Plus les groupes seront grands et forts, plus ils piétineront le sol de nos campagnes pour étaler leur coûteux projets au détriment de notre liberté d’entreprendre nous même les études en fonction de nos besoins et avec l’aide de nos ingénieurs locaux comme le fut Jean Bertin...