Bonjour,
ce ne sont pas les matériels bien que trop lourds, ni les clients qui manquent pour remplir les trains et bus, mais les mauvais choix généralisés sur la totalité de la surface du pays. En effet, il ne manque plus qu’une carte à apporter au plan pour lui accorder enfin un vrai argument de séduction. Qu’en coûterait il de rendre une portion d’autoroute gratuite pour les mitoyens, un peu comme une tranche zéro à une carte d’abonnements.
Prenez une ligne Ussel Figeac 120 km, elle n’a d’intérêt que si elle voit des belges, nordistes ou parisiens l’empreinter pour aller à Toulouse où en Espagne. Parmi eux, qui est vraiment pressé si le voyage est confortable ? Maintenant, en réutilisant les lignes déjà tracées en travers du massif central dont les viaducs sont toujours debout, quelle est l"économie sur le budget général ? Ajoutez l’économie en posant des lignes suspendues sur coussin d’air n’imposant aucune contrainte physiques et d’entretien facile, et au long terme vous êtes largement gagnant, pour un investissement inférieur.
Les clients pressés imposent aux touristes curieux de les priver de leur plaisir de voyager, et les projets coûteux pour gagner vingt minutes avalent la presque totalité des budgets. Pourquoi ne pas répartir les budgets à équivalent à partir de deux pôles, Paris et Massif Central. De cette façon, les deux tendances en matière d’intérêt seraient respectées. Nulle doute que le prix du kilomètre était appliqué, Les moins pressés choisiraient les parcours les plus longs et les moins chers, doublant ainsi l’utilisateur en local et rentabilisant les petites lignes.