Bonjour, Georges.
Voilà un intéressant article qui m’avait échappé cette semaine. Merci au « best-of ».
Franchement, je ne me retrouve pas dans ce texte. Et pourtant, si vous avez été premier de la classe et néanmoins en souffrance, j’ai au contraire connu de très bons moments à l’école. Moi qui ai toujours été très indiscipliné et souvent peu intéressé par le programme de l’année. Moi qui, en outre, ai connu pas moins de... établissements différents, publics et privés, avant de stopper cette suite d’exclusions définitives à bac-2. Moi qui ai pris des coups décrits dans un article intitulé « Au bon vieux temps des châtiments corporels dans l’enseignement catholique ». Bref, moi qui n’avait rien pour aimer l’école.
Eh oui, je l’ai pourtant aimée cette école, plutôt dans le style « je t’aime moi non plus », et si j’ai été en conflit ouvert avec des professeurs, il en est d’autres qui m’ont passionné. Comme quoi même un rétif comme moi peut trouver sa place à l’école pour peu qu’il ait affaire à des profs charismatiques ou, au minimum, respectueux de leurs élèves.
Cordiales salutations.