Après un quart de siècle de carrière dans le « monde de la finance », je me suis fait virer par la new generation (celle des hyper bonus et de l’amoralité, des super profits immédiats et de l’irresponsabilité intrinsèque).
Evidemment puisqu’en 2007, alors que la « crise des subprimes » était tout-à-fait prévisible et inévitable, j’avais dit au cours d’une conférence :
Si cela arrive, voila une excellente opportunité pour les états de reprendre les rènes d’une finance devenue incontrolable. Laissons les banques faire faillite, nationalisons-les et les gouvernements retrouveront le contrôle de la monnaie, autant pour son émission que pour la crétion d’une richesse réelle basée sur des biens et non plus sur de la spéculation. La justice sociale n’en sera que renforcée et les plus démunis pourront continuer à avoir accès au crédit à des conditions raisonnables.