Les escroqués c’est nous. Escroqués par cette « industrie culturelle », qui, en dehors d’être une perle d’oxymore, fait que nous payons tous, avec nos impôts, cette médiocrité destiné à subrepticement manipuler notre sens d’esthétisme pour aboutir à des réflexes du type pavlovien.
Tous les acteurs de cette activité somme toute profondément immorale sont des escrocs. Qu’ils s’escroquent également entre eux ne m’étonne pas du tout.