Bonjour l’auteur,
déjà c’est « Marion Anne Perrine », et en bon Français amateurs de la peine de mort, ses partisants l’ont raccourci en « Marine », qui présente le double avantage d’être plus « com-friendly », et de ne pas représenter une difficulté insurmontable de mémorisation pour ses fans à la cervelle pourtant déjà bien atteinte !
C’est comme l’aut. Sarközy de Nagy-Bocsa, ça fait pas assez peuple comme nom ça coco !
C’était ma contribution totalement inutile donc parfaitement indispensable.