"Mais après, les questions de l’intervention ou non restent. Il faudrait
que les libyens la demandent. Et où serait leur fierté, l’acte
fondateur de leur nouvelle liberté, si nous intervenons sans leur
demande ?«
bien plus que fierté : un des mots qui se retrouvent fréquemment dans ces »révolutions« en cours est celui de DIGNITE : or la dignité se gagne, ou se regagne difficilement si c’est autrui qui fait le job...encore moins quand les intentions d’autrui ne sont pas trés claires...
quant aux Libyens : côté rebellion : ouverts pour aide humanitaire, ok...pour intervention militaire : non...les plus »ouverts« accepteraient un verrouillage de l’espace aérien, mais la majorité des représentants de la dite »révolution« et du gouvernement ad hoc de l’Est ont été trés clairs : les hypothétiques soldats »internationaux« de cette hypothétique »intervention démocratique" seraient encore moins bienvenus que les mercenaires du Leader Mahboulo...et donc traités en conséquence.
so pas de thé, ni loukoum côté comité d’acceuil pour les GI’s...